- EAN13
- 9782344025109
- ISBN
- 978-2-344-02510-9
- Éditeur
- Glénat Livres
- Date de publication
- 29/11/2017
- Collection
- Hommes et océans
- Nombre de pages
- 312
- Dimensions
- 22,5 x 14 x 2,4 cm
- Poids
- 430 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Paul Watson
Sea Shepherd, le combat d'une vie
De Lamya Essemlali, Paul Watson
Glénat Livres
Hommes et océans
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En 2017, l’association Sea Shepherd fondée par le capitaine Paul Watson fête ses quarante ans. Quarante ans de lutte sans relâche pour la préservation des océans. Quarante ans sur la ligne de front.
Une tête mise à prix par la mafia taïwanaise, son nom placé sur la notice Rouge d’Interpol suite aux mandats d’arrêt lancés par le Costa Rica et le Japon, une arrestation en Allemagne qu’il quitte en catimini les cheveux teints et une chemise hawaïenne sur le torse… Non, il ne s’agit pas du scénario du dernier 007, mais de quelques-uns des événements qui ont ponctué la vie mouvementée de Paul Watson ces cinq dernières années. Celui que le Time magazine a désigné comme l’un des vingt plus grands héros écologistes du XXè siècle n’a pas fini de faire parler de lui. Adulé par les uns, qualifié d’écoterroriste par les autres, il a trouvé refuge deux années durant en France. Un exil pendant lequel il a témoigné sans relâche des actions de Sea Shepherd, participé à la COP21 et rédigé un manifeste au titre éloquent, Urgence ! Si l’océan meurt nous mourrons (Glénat, 2016).
Cherchant à anéantir l’association, le Japon n’est parvenu qu’à une chose, renforcer la détermination du capitaine et de son équipage : depuis l’arrestation de Paul Watson à Francfort en 2012, Sea Shepherd n’a jamais mené autant de missions et quelques-unes des campagnes les plus importantes ont été lancées. « Opération tolérance zéro » destinée à renvoyer chez eux les chasseurs de baleines en Antarctique, « Grind stop » pour faire cesser le massacre des globicéphales aux îles Féroé, campagne « Icefish » visant le démantèlement de braconniers dans l’océan Austral, « L’anti-captivité » pour mettre fin à l’emprisonnement des animaux dans les parcs aquatiques… Sea Shepherd, alias le berger de la mer, est sans doute l’organisation de défense des océans la plus combative au monde et entend bien le rester.
Quarante ans, l’âge de la maturité ? L’occasion en tout cas de revenir sur la création de Sea Shepherd, son évolution et ses perspectives d’avenir, mais aussi la vision de Paul Watson sur son séjour en France, la COP21 ou encore l’élection de Donald Trump. L’occasion aussi pour Lamya Essemlali de raconter la création de l’antenne française de Sea Shepherd en 2006 avec, pour seule dotation, un carton de tee-shirts ! Une antenne française qui est aujourd’hui l’une des principales entités sur le plan international. Sur la ligne de front.
Une tête mise à prix par la mafia taïwanaise, son nom placé sur la notice Rouge d’Interpol suite aux mandats d’arrêt lancés par le Costa Rica et le Japon, une arrestation en Allemagne qu’il quitte en catimini les cheveux teints et une chemise hawaïenne sur le torse… Non, il ne s’agit pas du scénario du dernier 007, mais de quelques-uns des événements qui ont ponctué la vie mouvementée de Paul Watson ces cinq dernières années. Celui que le Time magazine a désigné comme l’un des vingt plus grands héros écologistes du XXè siècle n’a pas fini de faire parler de lui. Adulé par les uns, qualifié d’écoterroriste par les autres, il a trouvé refuge deux années durant en France. Un exil pendant lequel il a témoigné sans relâche des actions de Sea Shepherd, participé à la COP21 et rédigé un manifeste au titre éloquent, Urgence ! Si l’océan meurt nous mourrons (Glénat, 2016).
Cherchant à anéantir l’association, le Japon n’est parvenu qu’à une chose, renforcer la détermination du capitaine et de son équipage : depuis l’arrestation de Paul Watson à Francfort en 2012, Sea Shepherd n’a jamais mené autant de missions et quelques-unes des campagnes les plus importantes ont été lancées. « Opération tolérance zéro » destinée à renvoyer chez eux les chasseurs de baleines en Antarctique, « Grind stop » pour faire cesser le massacre des globicéphales aux îles Féroé, campagne « Icefish » visant le démantèlement de braconniers dans l’océan Austral, « L’anti-captivité » pour mettre fin à l’emprisonnement des animaux dans les parcs aquatiques… Sea Shepherd, alias le berger de la mer, est sans doute l’organisation de défense des océans la plus combative au monde et entend bien le rester.
Quarante ans, l’âge de la maturité ? L’occasion en tout cas de revenir sur la création de Sea Shepherd, son évolution et ses perspectives d’avenir, mais aussi la vision de Paul Watson sur son séjour en France, la COP21 ou encore l’élection de Donald Trump. L’occasion aussi pour Lamya Essemlali de raconter la création de l’antenne française de Sea Shepherd en 2006 avec, pour seule dotation, un carton de tee-shirts ! Une antenne française qui est aujourd’hui l’une des principales entités sur le plan international. Sur la ligne de front.
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