- EAN13
- 9782080283962
- Éditeur
- Arthaud
- Date de publication
- 18/01/2023
- Collection
- Littérature
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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« Je vis dans une ville qui subit l’amour de plus de trente millions de
personnes par an. Aucune raison de se plaindre, me direz-vous ; il y a pire
comme destin : être atteint de leucémie, de toxicomanie, ou encore survivre
dans les déserts glacés des zones polaires où seules certaines variétés de
lichens osent pousser. Et pourtant, aujourd’hui pour ses habitants, vivre à
Venise signifie surtout observer sa ville en train de mourir. » Mariée à un
Vénitien depuis de longues années, c’est seulement lorsqu’elle a su piloter sa
topetta sur la lagune que Petra Reski s’est sentie pleinement vénitienne. Dans
ce livre dédié à « sa » ville, elle partage ses souvenirs intimes entre le
cinéma San Marco, le théâtre Ridotto et d’autres lieux mythiques et nous fait
partager la parenthèse enchantée du confinement qui a rendu les canaux à ses
habitants… Cette déclaration d’amour vivante et attachante est avant tout une
contre-carte postale. Écrit sans complaisance, ce récit témoigne de la
nécessité d’un engagement politique et citoyen pour sauver Venise de la
corruption institutionnalisée, du tourisme destructeur et de l’urgence
écologique qui la menacent.
personnes par an. Aucune raison de se plaindre, me direz-vous ; il y a pire
comme destin : être atteint de leucémie, de toxicomanie, ou encore survivre
dans les déserts glacés des zones polaires où seules certaines variétés de
lichens osent pousser. Et pourtant, aujourd’hui pour ses habitants, vivre à
Venise signifie surtout observer sa ville en train de mourir. » Mariée à un
Vénitien depuis de longues années, c’est seulement lorsqu’elle a su piloter sa
topetta sur la lagune que Petra Reski s’est sentie pleinement vénitienne. Dans
ce livre dédié à « sa » ville, elle partage ses souvenirs intimes entre le
cinéma San Marco, le théâtre Ridotto et d’autres lieux mythiques et nous fait
partager la parenthèse enchantée du confinement qui a rendu les canaux à ses
habitants… Cette déclaration d’amour vivante et attachante est avant tout une
contre-carte postale. Écrit sans complaisance, ce récit témoigne de la
nécessité d’un engagement politique et citoyen pour sauver Venise de la
corruption institutionnalisée, du tourisme destructeur et de l’urgence
écologique qui la menacent.
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