« Maman pirouette. Elle a la tête d’une petite fille qui s’attend à se faire disputer. Ou celle d’une vieille femme perdue dans les limbes. » A Céline G qui, tout comme la narratrice de ce roman, accompagne de temps à autre sa maman pirouette dans le Pays imaginaire !
Je serai vivante raconte une vérité dérangeante, lourde, triste : celle du viol. Le récit est rédigé à la première personne et la narratrice, qui est aussi la victime, s’adresse à « Monsieur l’officier ».
Trônant au milieu de la jungle, un arbre majestueux accueille, comme chaque année, des hôtes aux plumages colorés. Après des semaines d'amitié et de partage, les oiseaux quittent leur « nid » avant la saison des pluies. Seul un curieux spécimen de couleur rouge s'accroche aux branches du végétal si confortable et rassurant.
Le narrateur omniscient de cette histoire fantastico-moyen-âgeuse ne boude pas son plaisir à arpenter la Cornucopia dans tous les sens. Il nous conte en détails bonhommes les aventures de Daisy, de Bert et de l’Ickabog, un supposé monstre dont on met longtemps à savoir s’il existe vraiment ou pas.
Les parents d’Emma vivent et travaillent à l’Hôtel de la Sirène. Un jour, une étrange dame peu aimable s’y installe avec ses valises. Pour Emma, cette « madame Badoubeda » a forcément un secret, un terrible secret qu’elle décide de percer à jour.